Gran Canaria
Gran Canaria
Un saut en ville

Je ne peux pas rester tranquille !

Je ne peux pas rester tranquille !

Chaque année, mes parents et moi passons nos vacances sur une île qui s'appelle Gran Canaria. Nous logeons dans un appartement près d’une énorme plage entourée de dunes de sable. C’est comme un désert en bord de mer où tu peux te baigner tout le temps. L’endroit s’appelle Maspalomas.

Une fillette sourit sur la plage de Maspalomas par un jour ensoleillé
Une fillette sourit sur la plage de Maspalomas par un jour ensoleillé

Nous allons souvent à la plage parce qu'il fait toujours beau et ma maman adore passer sa journée à prendre le soleil. Mon papa n’aime pas trop bronzer et il m’emmène à plein d’endroits. J’adore les parcs aquatiques et leurs toboggans. Cette année j’ai enfin pu monter sur le plus grand toboggan, celui qui te fait faire plusieurs tours.

J'ai aussi accompagné mon papa sur un bateau qui part du port de Puerto Rico et qui nous a montré toute la côte. Et quand nous étions à bord, nous avons même vu des dauphins. Ce que j’ai le plus aimé des vacances de cette année à Gran Canaria est d’avoir vu des dauphins d’aussi près. Et dire que maman a raté ça parce qu’elle voulait être toute brune pour rentrer à la maison. Moi je trouve que c’est bête, surtout quand tu peux faire des choses aussi amusantes comme aller voir les dauphins..."

Ils ne peuvent pas rester tranquilles !

" Cette année je pense que je vais retourner à Gran Canaria. La plage kilométrique qui se trouve à deux pas est idéale pour ma longue promenade quotidienne et une bonne baignade dans l'océan avant d'aller dîner.

Une mère et sa fille s’embrassent à Maspalomas avec le phare en fond
Une mère et sa fille courent à Maspalomas avec le phare en fond

Mon mari, quant à lui, emmène les enfants d’un endroit à l'autre, à bord d'un bateau qui leur montre les dauphins et je ne sais quoi d'autre... Enfin, tant qu'ils me laissent profiter du soleil tranquillement (c'est un privilège qui n'a pas de prix après une longue année de course contre la montre et de stress...).

Sans compter que lorsqu'on voyage avec une troupe comme la mienne, mieux vaut ne pas courir de risques et je ne veux d’ailleurs en prendre aucun. C’est pour cette raison que je pense retourner à Gran Canaria cette année..."